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2018

Cycle : Bibliothèque des Livres Vivants

Le journal d’une femme de chambre

(Octave Mirbeau)

 

La vie matérielle

(Marguerite Duras)

 

en langue française

 

avec Delphine Sabat, Jeanne Werner

mise en scène – Frédéric Maragnani
conseiller artistique – Hervé Pons

assistant à la mise en scène – Olivier Waibel
régisseuse générale – Vanessa Lechat

 

coproduction Théâtre du Centaure, Cie Travaux Publics (FR)

 

 

 

 

Ce projet est soutenu par une Bourse FOCUNA.

Théâtre du Centaure :

novembre 2018 : 21, 22*, 29*, 30

décembre 2018 : 1, 2*

 

Les spectacles commencent sauf mention contraire à :

18h30 les jeudis et dimanches (*)

20h les autres jours.

 

Tarifs: 20€ / 8€

Kulturpass accepté.

 

Renseignements et réservations :

Par téléphone : +352 22 28 28 (répondeur)

Réservations par mail

 

La caisse est ouverte une demi-heure avant le spectacle.

 

En tournée :

Théâtre de Chelles (FR)

avril 2019 : 2

Réservations : www.theatre.chelles.fr

Dans Le Journal d’une femme de chambre, le personnage, immortalisé par Jeanne Moreau dans le film de Luis Buñuel, accepte un poste de domestique chez des notables, dont les obsessions et la cruauté révèlent leurs frustrations et perversions latentes. Au-delà de cette révolte, sans lendemain, contre un ordre social hypocrite et injuste, ce journal témoigne d’un écœurement existentiel qui est celui du romancier.

Dans La vie matérielle, ce recueil de textes courts mêlant autobiographie et essai, Duras revient sur les thèmes de son œuvre : la femme (mère, amante, femme au foyer), l’ivresse alcoolique, la rencontre avec Yann Andréa, les personnages qui peuplent ses romans, tout en analysant finement ses conceptions littéraires, théâtrales et cinématographiques.

Cette série est une transmission de la littérature par le théâtre. Chaque livre est incarné par un acteur, conteur, narrateur, mais aussi personnage de l’histoire qui est vécue sous vos yeux. Cette soirée est présentée dans le cadre d’un échange entre le Théâtre du Centaure et le Théâtre de Chelles, avec le Fonds Culturel National du Luxembourg.

 

Une approche théâtrale originale bienvenue et très convaincante de textes littéraires. Luxemburger Wort

 

Un vrai bonheur. Le Quotidien

 

… il ne s’agit jamais ici de lecture ni d’interprétation : chaque acteur se tient pendant près d’une heure sur le fil ténu qui séparent les deux, tantôt narrateur, tantôt personnage de l’histoire qui est racontée (…) Les deux heures passent à une vitesse folle, avec (…) le confort qu’impose la relation entre interprète et public lors de cet exercice unique. Encore ! d’Land